Déferlements — Performance au Musée Courbet à Ornans
Dimanche 15 mars 2020, de 14h30 à 15h30, Jérôme Lefebvre, musicien, et moi même, proposerons une performance-improvisation, guitare, encres et eaux sur papier. Read more
Dimanche 15 mars 2020, de 14h30 à 15h30, Jérôme Lefebvre, musicien, et moi même, proposerons une performance-improvisation, guitare, encres et eaux sur papier. Read more
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Belle facture que ce numéro 5 de Vivre l'Art Magazine, paru en mars 2020, avec une superbe sélection d'artistes, plusieurs de mes oeuvres y sont présentées. Read more
Texte de Forough Farrokhzâd, traduit du persan par Laura et Ardeschir Tirandaz. Livre d’artiste tiré à 20 exemplaires signés et numérotés par l’artiste. Chaque livre est unique et contient des encres de Elisabeth Bard. Ce livre d’artiste a été réalisé à l’occasion du lancement de la souscription d’Æncrages & Co. Leporello en quatre panneaux au format 19 x 14 cm
2018, encres sur papier wenzhou et papier intissé, 10 m x 1 m et 10 m x 1,20 m En grec ancien Χάος / Kháos, littéralement « Faille, Béance », du verbe χαίνω / khaínô, « béer, être grand ouvert » « Chaos : béance matricielle où le tout possible a lieu » Étienne Klein, physicien. «C'est un lieu qui s'ouvre sur d'autres lieux, une 'béance' d'où naît toute chose» Monique Saigal, L'écriture : lien de mère à fille chez Jeanne Hyvrard, Chantal Chawaf et Annie Ernaux
11 et 12 janvier 2020, exposition et concerts organisés par Atmusica au Château de Cangé, Saint-Avertin près de Tours, le temps d'un week-end. Read more
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200 peintres, sculpteurs et photographes francs-comtois exposent à Micropolis Read more
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Exposition personnelle et Performance avec Michel Mandel, clarinettiste. ©Sylvie Freiss
Attracteurs étranges est un projet évolutif de la peintre plasticienne Elisabeth Bard et de la comédienne et performeuse Boryana Todorova. Le projet est une exploration du temps – le temps qui passe, son mouvement, le fait-même de son écoulement, sa perpétuelle et implacable absence au fond. Le présent n’existe pas – le temps nécessaire pour conscientiser ce que nos sens perçoivent même s’il ne dure quelques microsecondes, ne permet pas une connexion immédiate à ce qui nous entoure. Notre vie consciente se déroule dans un flot de perceptions que notre esprit tisse ensemble pour faire sens. Ce flot d’un vide très plein est ‘l’attracteur étrange’ qui nous a rassemblées dans le désir de créer une œuvre commune. Attracteurs étranges est un projet-pari. Nous parions sur la rencontre et la fécondation de nos deux recherches respectives. Nous faisons le choix du déplacement, déplacement de nos pratiques et de nos lieux d'expression. Elisabeth Bard, se confronte à la mémoire, la mémoire incarnée dans des photos argentiques, héritage commun et insaisissable des traces de nos présences. Elle décide d’en découdre… en les cousant ensemble. Mais de l’importance de l’image à celle même du tissage, du fil, de l’aiguille, la création à l’oeuvre répercute les échos symboliques et s’ouvre vers ce qu’elle n’imaginait pas. Boryana Todorova, se saisit d’un matériau éphémère - la glace, l’eau gelée. L’exploration est donc celle du temps, mais aussi celle de la trace. En laissant fondre des masques glacées sur des feuilles de papier, et en y laissant tomber quelques gouttes d’encre, elle obtient des silhouettes de visages improbables, hasardeux, fantomatiques, révélateurs de l’interaction entre les matériaux. L’exploration est aussi celle de l’accumulation, accumulation de ces « portraits », et accumulation de masques fondant et formant une étendue d’eau. Hasard relatif, actions autonomes des matériaux, gestes initiateurs, et ouverture vers ce qui advient. Quelque chose est dans la forme. - Les attracteurs étranges sont des objets mathématiques qui "révèlent la discrète structure qui se dissimule dans un flot de données incohérent" La théorie du chaos, James Gleick - Les images présentées sont celles d'une première étape de travail qui a eu lieu au cours d'une résidence au MAGA, à Bruxelles en Juin 2018. Dans une nouvelle étape de travail à venir, nous projetons de nous rencontrer dans l’action-même de nos corps dans une performance commune. Nous réunirons nos matériaux - papier, papier-photo, encre, glace ; et nos corps dans la pratique de leurs arts - la danse et la peinture. Le corps en mouvement et le geste du peintre rentreront en résonance avec la surface glacée, rugueuse, fondante.
encre blanche sur papier, 104 x 74,5 cm
L'esprit du lieu
Du 29 mai au 6 juin 2019, Cité des Arts, Les Quinconces, Place des Jacobins, 72000 Le MansVernissage le mercredi 29 Mai à 18h30Ravie d'y exposer à nouveau ! Ouvert au public jeudi, vendredi, samedi, 11h -19h / dimanche, 10h -18h La MIAC Puls'Art est… Read more
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> Structure installation, 2017, métal, miroir, plexiglas et Lagurus ovatus *, 172 x 80 x 113 cm La terre et le vent, l’herbe et le signe, semences et pas d’échassier. Bascule de l'espace et du temps. Poaceaes, graminées, existaient à l’époque du crétacé, les ai récoltées sur une rive d’océan... ‘Le brin d’herbe a les dimensions du monde’
Du 28 avril au 12 mai 2019. Exposition ouverte les jeudis, vendredis, samedis, dimanches et jours fériés de 15h à 18h30. Vernissage le samedi 27 avril à 18h00 Read more
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Dessins à l’encre sur papier Montval coton 330 gr inclus dans plexiglas PMMA, 25 x 13 x 4 cm. Oeuvres originales réalisées en septembre 2017 sur commande du Centre Pierre Janet, Université de Lorraine, Pour le Prix Centre Pierre Janet 2017 ARCAS, Impression sensitive de la sonorité d’un mot, intuition de sens … ainsi naît un titre de collection, souvent, et puis, aller explorer plus avant ce que recèle le terme. Arcas, signifie coffre en espagnol. Coffre … matrice des mystères. Arcas, c’est aussi le fils de Zeus et Callisto. Son nom est lié au grec ancien Arkos « ours » et à son histoire : Artémis jalouse de l’union entre Zeus et Callisto la transforma en Ourse. Celle-ci, sera sauvée par Zeus de la flèche d’Arcas, son fils chasseur, ignorant que l’ourse qui s’approchait de lui n’était autre que sa propre mère. Elle deviendra la constellation de la grande ourse, Arcas sera également changé en une constellation, celle du Bouvier, gardien de la grande ourse, ou celle de la petite Ourse selon les sources. La caverne de l’ours, elle, est, chez les amérindiens, appelée la loge du rêve … Ces Arcas 1,2, 3, 4, 5, 6, 7 : mutations habitées de leurs traces mémorielles à la rencontre de leur destination. El.B
Achevé à La Colline, Les premiers sapins, France, en avril 2018. Chutes, a été conçu à partir d’un texte inédit de Micha SOFER. Encres originales, réalisation des livres, Élisabeth BARD 12 exemplaires uniques ont été composés sur papier coton ZuberRieder, 125 gr. Texte : typographie avenir next sur calque 90 gr.
2018, encres sur papier wenzhou et papier intissé, 10 m x 1 m et 10 m x 1,20 m En grec ancien Χάος / Kháos, littéralement « Faille, Béance », du verbe χαίνω / khaínô, « béer, être grand ouvert » « Chaos : béance matricielle où le tout possible a lieu » Étienne Klein, physicien. «C'est un lieu qui s'ouvre sur d'autres lieux, une 'béance' d'où naît toute chose» Monique Saigal, L'écriture : lien de mère à fille chez Jeanne Hyvrard, Chantal Chawaf et Annie Ernaux
encre blanche sur papier, 104 x 74,5 cm